Cela fait 2 ans que j'ai commencée ce magnifique kit pour ma fille,
comme tous les autres j'ai du mal à le terminer.
Encore un projet pour 2008.
Cela fait 2 ans que j'ai commencée ce magnifique kit pour ma fille,
comme tous les autres j'ai du mal à le terminer.
Encore un projet pour 2008.
DUNKERQUE, début du XVIIe siècle.
Ici, on parle le flamand ; Louis XIV n’achètera la ville qu’en 1662. D’ici, des pêcheurs partent pour l’Islande. Ces expéditions durent six mois et sont risquées. De nombreux hommes n’en
reviennent jamais, laissant veuves et orphelins.
Face à ce danger, les armateurs paient aux pêcheurs une partie de leur solde avant le départ. Une assurance pour les familles. Les marins profitent aussi d’une fête, que l’armateur finance en
partie.
«
Visschersbende »
Une année, le départ pour l’Islande et les réjouissances qui l’accompagnent coïncident avec les jours gras, qui
précèdent le Carême. Dès lors, les marins se masquent, se déguisent. La visschersbende, au sens carnavalesque du mot, est née. Au XVIIIe siècle, cette « bande des pêcheurs » s’ouvre aux
familles des marins, puis au reste de la société.
Au début du XIXe siècle, apparaissent, en marge du défilé, les bals nocturnes. Des associations philanthropiques les organisent afin de récolter des fonds pour les veuves et les orphelins des
pêcheurs. La période de fête s’allonge, pour dépasser la seule période des jours gras. Mais l’activité de pêche à la morue décline à la fin du XIXe et, avec elle, la bande des pêcheurs ; seuls
les bals gardent leur succès.
C’est en 1906, sous l’impulsion de la municipalité et d’associations, que la dynamique du carnaval de rue est relancée. Annulée ensuite pendant les deux guerres, la bande renaît à chaque fois. En
1946, le défilé slalome entre les ruines d’une ville détruite. Même en 1991, interdit pour cause de guerre du Golfe, le carnaval survit encore : une « bande annulée » s’improvise à Saint-Pol puis
à Dunkerque.
Peu importe les circonstances, il y aura toujours des résistants !
Avant-bande -
aprés-bande : l'équivalent des « before » ou « after » parties des soirées branchées. Parce qu'avant l'heure du carnaval,
c'est déjà le carnaval et qu'après, ça l'est encore !
La bande
: le cortège, qu’on perd quand on
s’attarde dans les chapelles.
Les berguenaeres
: les parapluies. Souvent aux couleurs des sociétés
carnavalesques, ils sont indissociables des premières lignes de la bande.
Beurt'che
: petit tour avec une fille et, par extension, petit
tour dans la bande.
Brouck
: pantalon
Chahut
: dans les bandes, moment où les premières lignes
retiennent en se serrant les coudes l'avancée des masquelours.
Chapelle
: étape chez un carnavaleux où l'on boit et l'on mange
en costume avant de rejoindre le bal. Un carnavaleux qui ouvre ainsi les portes de chez lui «fait chapelle».
Le clet’che
: le déguisement de
carnavaleux.
Co-Schlock
: tambour-major de la bande des
pêcheurs
Deckeneuze
: faux nez en carton
«Dur la peste»
: très dur. Expression qui s’entend parfois quand les
premières lignes font la pause. Peste se décline aussi dans «puer la peste».
Les figuemans
: figures du carnaval dunkerquois, qui tendent
malheureusement à disparaître. Ils se promènent au milieu de la bande une canne à pêche à la main et mettent sous le nez des masques et des passants, un « z’hareng » bien
odorant.
Les kippers ou sprats
: des poissons séchés. Le kipper est un hareng ; le
sprat, un petit poisson plat.
Les masques ou
masqueloures : les carnavaleux
déguisés.
Méconable :
« méconnaissable » en dunkerquois.
Un nèche
: une personne un peu sotte ou
mollassonne.
La pinte
: le demi de
bière.
Le plumeau ou plumt’che
: les carnavaleux s’en servent pour chatouiller les
passants et les autres masques.
Le podingue : le pudding, dessert traditionnel dans les chapelles (les endroits chez l’habitant ou dans les cafés où l’on se restaure). Le podingue est fait avec des
corinthes (des raisins secs).
Rigodon
: chahut qui termine le défilé dunkerquois sur la place
Jean Bart. Les carnavaleu chantent alors la Cantate à Jean Bart, traditionnellement un genou à terre et le chapeau sur le coeur.
Les Reuzes
: les géants du carnaval
dunkerquois.
Les tet’ches
: les seins.
Trois joyeuses
: les trois jours où le carnaval dunkerquois bat son
plein. Dimanche, lundi et mardi-gras.
Visschersbende
: en flamand, littéralement, la bande des pêcheurs. Le
vrai nom de la bande de Dunkerque.
Le wiche ou piche
: le sexe
masculin.
Un zô ou un zôt’che
: un baiser ou un petit baiser. Ne pas se formaliser si
on vous en réclame un dans la bande.
L chapeau à fleur
Le Kipper
La fausse poitrine
Le manteau de fourrure
La jupe et les collants .... et les chaussures armées !!!
Le berguenaere (ou parapluie)
Une autre passion de mon mari les alpines. Il adore les A 110, mais le prix reste très élevé pour pouvoir s'en acheter une, même pour la restaurer lui même malgré qu'il soit bricoleur et qu'il aime mettre les mains dans le moteur.
La réalisation d'un foyer est prépondérante pour elle. Toutefois, si elle reste dépendante affectivement, elle a besoin d'avoir son
indépendance personnelle et, sur le plan professionnel, elle sera attirée par les professions de conseil ou l'enseignement, les professions commerciales où l'expression écrite ou orale est
importante, les professions créatives, en liaison particulièrement avec la dextérité manuelle, les professions où les voyages, la mobilité et le contact avec les autres sont
nécessaires.
Olivier et Oliver sont attirés par tout ce qui est original, voire d'avant-garde. S'ils
sont nés un 4, 13, 22, 31, ou un 7, 16, 25, ils s'intéresseront plutôt aux domaines techniques (audiovisuel, informatique, télématique, électronique). S'ils
sont nés un 2, 11, 20, 29, ou un 9, 18, 27, ils se tourneront plutôt vers les sciences humaines (psychologie, parapsychologie, sociologie, ethnologie,
médecine, histoire, publicité, marketing, droit...). Ils apprécient également les activités liées aux voyages, et ils peuvent faire carrière dans le tourisme et le secteur des transports. La
cuisine, la gastronomie, l'hôtellerie sont susceptibles de les tenter, ainsi que les professions artistiques et celles qui privilégient le contact avec un public.